La consultation d’images pédopornographiques a longtemps été insuffisamment pris en compte et sanctionnée.
Une question sur laquelle revient Me Aubret-Lebas, interrogée par le journal la Croix:
Un argument révélateur pour Me Louise Aubret-Lebas, avocate de parties civiles. « Pendant
toutes ces années, il y a eu une évidente sous-estimation de la gravité que constitue le fait de
consulter des sites pédopornographiques. Alors qu’on sait très bien que les individus, qui
regardent des viols d’enfants, ont un risque élevé de passage à l’acte. »